Le procès de l’assassinat de l’avocat Antoine Sollacaro se déroulera à huis clos. La cour d’assises des Bouches-du-Rhône a accédé à la demande de la défense de Patrick Giovanoni, premier repenti de France, invoquant des menaces sur sa sécurité.
Cette décision, soutenue par le ministère public, vise à préserver le statut de collaborateur de justice. Le dossier de Jacques Santoni, autre accusé, a par ailleurs été disjoint pour raisons médicales.

